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Expositions

Denis POUHGON
5 sept. > 7 oct.

L’homme créera l’animal à son image jusqu’à l’habiter dans ses entrailles pour se donner l’illusion d’exister d’une autre manière. A travers son œil, il regardera le monde, avec le second il regardera au dedans de lui. Ce travail de série est appelé, « l’Esprit de l’œil ».

La technique du croquis donne énergie et vitalité aux portraits de ses animaux. La construction est hâtive, seule la tête est importante, le corps architecturé est un abri précaire, paravent contre les éléments.

Ses portraits lui parlent, nous parlent, répondent souvent aux questions dont nous n’avons les réponses. Ou alors, ils nous posent d’autres questions... après tout, c’est bien la notion essentielle de l’œuvre d’art !



Jacqueline GAVELLE-DEMURE
10 oct. > 10 nov.
« J’ai une vénération pour la nature et les arbres. S’immerger dans le végétal. Faire corps avec le sol animé de racines, la majesté des troncs, la rudesse des écorces, les palpitations du feuillage.
Respirer les odeurs, fermer les yeux et  écouter le silence. Prendre un bain d’arbres, comme disent les Japonais. Mais aussi, le nez dans l’herbe, découvrir une autre dimension du paysage.
Puis, seule, face à la toile, tenter de traduire un ressenti, sans chercher nécessairement à représenter. Mon travail n’est pas lié à une observation directe, le sujet n’est bien souvent qu’un prétexte. Il y a le support et ses limites, et puis la matière, la couleur, le geste.

Regards sur les collections du CNCS
14 nov. > 30 dec.

Ouvert en 2006 à Moulins, le Centre national du costume de scène a fêté ses 10 ans en 2016.

Musée de France, le CNCS conserve des collections uniques au monde, présente des expositions majestueusement scénographiées, relayées à l’international, réunit patrimoine et modernité en plein centre de la France, dans un lieu de vie unique.

En cette année anniversaire, le CNCS propose, de revenir sur les temps forts qui animent ce lieu culturel incontournable et de le découvrir à travers ses plus belles images : costumes prestigieux, expositions, activités et accueil...
 

Fabienne CINQUIN
4 janv. > 10 fev.
A l'origine de cette série, il y a un lot du  Petit Echo de la Mode de la fin du XIXème  siècle chiné au marché aux puces de Clermont-Ferrand. Fabienne découvre ces silhouettes à la mode ancienne,  corsetées jusqu’au cou, dont les courbes étaient étrangement accentuées.  Elle décide de découper quelques silhouettes,  de recomposer une image en dessinant par-dessus à l'encre de Chine noir et rouge. Elle compose alors des scènes étranges en leur greffant  de «  drôles » de costumes, s'inspirant  aussi bien de Granville que de Jérôme Bosch. Elle  baptise cette série : «  Cabinets de Curieuses  », sorte de laboratoire où elle exprime   l’étrange. Pétrie de références artistiques, elle  ne pouvait pas ignorer  les collages de Max Ernst, de Jacques Prévert, Jean-Jacques Grandville, Gustave Doré, Odilon Redon... A toutes ces inspirations, elle a surtout mêlé ses références fétiches et inépuisables autour des contes de Perrault, mais aussi d’Alice aux Pays des Merveilles de Lewis Carrol et Pinocchio de Collodi. Ces personnages récurrents diversement associés à des corps hybrides dans un décor quelquefois  végétal  évoquent également des scènes de théâtre où se jouent des intrigues…

Frédéric NOLLEAU
14 fev. > 24 mars
Sur la toile marouflée, des souvenirs incendiés, traces de constructions éphémères dévorées de passé où le flamboiement des couleurs culmine dans un clair-obscur. Le tout forme une archéologie personnelle où se loge la vie. Ta peinture y est comme sculptée. Entre deux et trois dimensions, une quatrième semble voir le jour.
Sur la toile, le graphiste soigneux et méticuleux que tu es s’expose, fait place aux accidents, laisse advenir les mélanges hasardeux de matières chiffonnées. Certains non miscibles entre eux ne gardent de leur impossible union qu’une marque en creux, comme une présence absence.
Tes marges déchirées hurlent leur vérité. Refusant d’être cantonnés, tes formats s’étirent en long en large en travers comme pour mieux respirer. Au final, les “paysages” que l’on voit sont ceux qui nous regardent.
Corinne Pradier, écrivain

TERWAECH
28 mars > 5 mai

Originaire d'Alsace, Danielle Waechter, dite Terwaech, s'est installée en 2016 à Montluçon, où elle a ouvert son Atelier-Galerie.

Dans son travail, Terwaech aborde le thème de la nature, en explorant toute l'étendue de sa fascination pour les forces souterraines, végétales et minérales, à travers la représentation picturale et graphique de toutes leurs nuances, et l'interprétation visuelle de leur potentiel symbolique.

La parfaite harmonie entre les gestes lents, voire répétitifs par l’application successive des couches de glacis à l'huile sur la toile, et la respiration et les pensées de l'artiste, crée une forte énergie libératrice.

En se détachant de plus en plus des préoccupations artistiques formelles, l’artiste Terwaech poursuit une quête plus intime sur ses origines et son rapport au monde.
 

Frédéric SINTUREL
10 mai > 23 juin 

Ce sont les situations bien réelles que nous procure notre environnement qui intéresse Frédéric. Une fois cadrées, photographiées et extraites de leur contexte, cela donne des images poétiquement décalées. Il suit cette démarche quel que soit le sujet, paysages, scènes de rue, personnages, minuscules détails sur un trottoir…. Tout ce que ses yeux voient l’intéresse dans le but unique d’extraire et de figer une réalité invisible.
 

Culture, sport et associations - Expositions 2
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